As it presents a report documenting Hizbullah’s attacks in Northern Israel, Amnesty International appeals once again to EU Foreign Ministers to call for a comprehensive, independent and impartial inquiry into violations of international humanitarian law by both sides in the conflict. Amnesty International regrets that the August resolution of the UN Human Rights Council to set up an inquiry only focused on Israel and did not address the violations by Hizbullah. The report that is published today (“Israel/Lebanon: Civilians under fire – Hizbullah’s attacks on northern Israel” available below), concludes that Hizbullah’s rocket attacks on civilians and civilian objects constitute war crimes under international law. This report complements the organization’s previous findings on violations committed by Israel. “If the EU is to have a meaningful, constructive role in this process it needs to press for a proper investigation that is balanced and addresses both sides of the conflict”, said Dick Oosting, Amnesty International’s EU Office Director. In a letter to Foreign Ministers, Amnesty International once again urges the EU to call for:
Link: Report – Israel/Lebanon: Under fire – Hizbullah attacks on Northern Israel For further comment/background and interviews: | Conseil «Affaires générales et relations extérieures» (CAGRE). Une mise au point est nécessaire, les atteintes aux droits humains perpétrées par les deux parties doivent faire l’objet d’enquêtes Parallèlement à la publication d’un rapport présentant de nombreuses preuves d’attaques perpétrées par le Hezbollah dans le nord d’Israël, Amnesty International appelle une nouvelle fois les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne à ouvrir une enquête approfondie, indépendante et impartiale sur les violations du droit international humanitaire commises par les deux parties au conflit. Amnesty International regrette que seules les violations perpétrées par Israël n’aient été visées par Le rapport rendu public ce jeudi 14 septembre (Israel-Liban: En ligne de mire – les attaques du Hezbollah sur le nord Israel – disponible ici) conclut que les attaques à la roquette du Hezbollah contre des personnes et des biens civils constituent des crimes de guerre au regard du droit international. Ce rapport complète les observations précédentes de l’organisation sur les violations commises par Israël. « Si l’Union européenne veut jouer un rôle significatif et constructif dans ce processus, elle doit faire pression pour que soit menée une véritable enquête, objective et portant sur les deux parties au conflit », a déclaré Dick Oosting, directeur du Bureau européen d’Amnesty International. Dans une lettre adressée aux ministres des Affaires étrangères, Amnesty International demande une nouvelle fois instamment à l’Union européenne de lancer un appel en faveur de:
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